Sandrine, je me suis laissée emportée par ta voix, la musique, le chant de la chouette et ce conte et cette femme renarde qui offre le bonheur à un chasseur...
Il est 11h00 du matin, le mois de décembre pointe doucement son nez, il n'y a pas de cheminée chez moi pour y faire un joli feu de bois...
Mais, le feu brûle en moi, parfois puissamment, et en cette fin de matinée d'automne finissant, je l'ai fait brûler doucement, en me lovant sur mon canapé.
Et j'ai fait un nid en moi pour cette histoire..
Les poils de mes bras se sont dressés, la chair de poule s'est propagée partout sur mon corps, peut-être était-ce la chair et les poils de la femme renarde, mais ne suis pas "légèrement" prétentieuse... connectée intensément... A cette histoire, et à la magie de ta voix..
Quand l'amour se pointe à notre porte, comme la femme renarde à celle du chasseur, ne finissons nous pas, nous les humains, par la trahir, une odeur, ou tout autre chose gênante et envahissante.. Ne finissons-nous pas, par briser ce que nous avons de plus cher...
Je la reecouterai encore et encore cette histoire... Et je la partagerais
Oh merci pour ce commentaire Claudie, je suis heureuse de voir que ce conte a réveillé la femme renard qui habite en toi. Je suis certaine qu'elle habite en chaque femme. D'ailleurs, dans la plupart des contes, et peu importe la terre où ils ont poussé, les femmes animales sont sauvages par essence. Elles sont doubles et le restent toujours. Alors que pour les hommes, c'est souvent un sort ou une malédiction qui les transforme en animaux, les femmes animales portent cela en elles, elles ont des griffes cachées au bout de leurs doigts, des plumes mêlées à leurs cheveux, des fourrures de feu qui attendent de briller dans la lumière du soleil. Et je crois que cela reflète en effet la nature des femmes. Que ta femme renard te garde en joie et en force, qu'elle veille toujours sur la magnifique relation que tu as avec le monde sauvage!
J'ai écouté ce très beau conte, une main posée sur la fourrure de mon chat, lové contre moi... Et j'ai laissé les mots couler de ta bouche... Ils m'ont dit de notre insatisfaction à nous contenter de ce que la vie nous offre, de notre tristesse lorsque nous nous rendons compte que tout cela est perdu par notre bêtise... Et que la Nature est indomptable, elle est libre, et n'a pas besoin de nous! Merci chère Sandrine, pour ce moment suspendu.
Merci Stéphanie pour ton partage. Oui, cette insatisfaction est au coeur de bien des problèmes actuels, que ce soit au niveau individuel ou collectif... Et merci pour ce joli rappel que la nature doit rester libre, liberté que la femme renard incarne merveilleusement. A vouloir contrôler la terre, nous risquons de perdre ses dons. Je ne me lasse pas de cette histoire. Et en effet, l'écouter avec la tendresse toute sauvage de ton chat, cela a dû être fabuleux!
Merci pour ce merveilleux conte de la femme renard. Il y a quelques soirs, en allant arroser le jardin à l'orée de la forêt, la nuit s'installant, j'ai avancé en silence sur le petit chemin. Une renarde attendait, elle s'est enfuie à quelques pas de moi...
Merci pour ce retour Florent. J'adore ces synchronicités que le monde sauvage sait offrir à ceux qui savent regarder en profondeur et écouter longuement. J'espère que ta femme renard continue de te guider sur tes terres du Jura...
Sandrine, je me suis laissée emportée par ta voix, la musique, le chant de la chouette et ce conte et cette femme renarde qui offre le bonheur à un chasseur...
Il est 11h00 du matin, le mois de décembre pointe doucement son nez, il n'y a pas de cheminée chez moi pour y faire un joli feu de bois...
Mais, le feu brûle en moi, parfois puissamment, et en cette fin de matinée d'automne finissant, je l'ai fait brûler doucement, en me lovant sur mon canapé.
Et j'ai fait un nid en moi pour cette histoire..
Les poils de mes bras se sont dressés, la chair de poule s'est propagée partout sur mon corps, peut-être était-ce la chair et les poils de la femme renarde, mais ne suis pas "légèrement" prétentieuse... connectée intensément... A cette histoire, et à la magie de ta voix..
Quand l'amour se pointe à notre porte, comme la femme renarde à celle du chasseur, ne finissons nous pas, nous les humains, par la trahir, une odeur, ou tout autre chose gênante et envahissante.. Ne finissons-nous pas, par briser ce que nous avons de plus cher...
Je la reecouterai encore et encore cette histoire... Et je la partagerais
Merci à toi 💞
Oh merci pour ce commentaire Claudie, je suis heureuse de voir que ce conte a réveillé la femme renard qui habite en toi. Je suis certaine qu'elle habite en chaque femme. D'ailleurs, dans la plupart des contes, et peu importe la terre où ils ont poussé, les femmes animales sont sauvages par essence. Elles sont doubles et le restent toujours. Alors que pour les hommes, c'est souvent un sort ou une malédiction qui les transforme en animaux, les femmes animales portent cela en elles, elles ont des griffes cachées au bout de leurs doigts, des plumes mêlées à leurs cheveux, des fourrures de feu qui attendent de briller dans la lumière du soleil. Et je crois que cela reflète en effet la nature des femmes. Que ta femme renard te garde en joie et en force, qu'elle veille toujours sur la magnifique relation que tu as avec le monde sauvage!
💞🦊
Magnifique conte. Même les chouette viennent écouter tes contes sauvages!
J'ai écouté ce très beau conte, une main posée sur la fourrure de mon chat, lové contre moi... Et j'ai laissé les mots couler de ta bouche... Ils m'ont dit de notre insatisfaction à nous contenter de ce que la vie nous offre, de notre tristesse lorsque nous nous rendons compte que tout cela est perdu par notre bêtise... Et que la Nature est indomptable, elle est libre, et n'a pas besoin de nous! Merci chère Sandrine, pour ce moment suspendu.
Merci Stéphanie pour ton partage. Oui, cette insatisfaction est au coeur de bien des problèmes actuels, que ce soit au niveau individuel ou collectif... Et merci pour ce joli rappel que la nature doit rester libre, liberté que la femme renard incarne merveilleusement. A vouloir contrôler la terre, nous risquons de perdre ses dons. Je ne me lasse pas de cette histoire. Et en effet, l'écouter avec la tendresse toute sauvage de ton chat, cela a dû être fabuleux!
Merci pour ce merveilleux conte de la femme renard. Il y a quelques soirs, en allant arroser le jardin à l'orée de la forêt, la nuit s'installant, j'ai avancé en silence sur le petit chemin. Une renarde attendait, elle s'est enfuie à quelques pas de moi...
Merci pour ce retour Florent. J'adore ces synchronicités que le monde sauvage sait offrir à ceux qui savent regarder en profondeur et écouter longuement. J'espère que ta femme renard continue de te guider sur tes terres du Jura...