Pour ce nouvel épisode, en lien avec mon dernier texte posté ici: “Je te vois”, je vous emmène à la rencontre d’un animal qui est certainement pour moi celui qui représente le plus farouchement le monde sauvage: le renard.
Une merveille de poésie précieuse et précise, le témoignage d'une femme ancienne qui unit au sauvage et nous réconcilie avec notre être intérieur originel.
Ô ...... Je viens de finir le voyage avec toi, le renard, 🦊, la pierre de Lune, les étoiles, le passeur, avec toi la conteuse... J'allais écrire "Ô mon Dieu", mais ce n'est pas le dieu des hommes, et je ne sais pas comment nommer ce que j'appelle..
Continue Sandrine, à réveiller, à embarquer ce qu'il reste de sauvage en nous, avec ta magie délicieuse, sensible, mordante et féroce...
Ne t'arrête pas, j'ai tellement envie de partager tes contes à ceux qui m'entourent, celui ou celle qui reste et qui a encore une porte entrouverte sur la vie sauvage...
Un cadeau pour le solstice d'hiver qui approche, ce serait un cadeau précieux, comme la pierre de Lune qui brille parmi les étoiles et nos pleurs.
Claudie, merci pour ces mots magiques, ces mots trésors, ces mots étoiles... Ton émerveillement est un baume, et me touche énormément. "Je ne sais pas comment nommer ce que j'appelle"... je vois très bien ce que tu veux dire. Laissons-le, laissons-la, laissons-les donc courir la terre et les constellations sans leur chercher de nom. Laissons-les simplement chanter leur chanson douce et féroce dans nos coeurs. Merci aussi pour tes mots tout simples: "Ne t'arrête pas". Ils sont venus pour moi dans un rêve, durant la magique nuit de Samhain. Ils sont un cadeau précieux que tu m'offres à nouveau. Merci 🙏
Une merveille de poésie précieuse et précise, le témoignage d'une femme ancienne qui unit au sauvage et nous réconcilie avec notre être intérieur originel.
Merci pour ces mots qui me touchent beaucoup et m'encouragent à continuer!
Ô ...... Je viens de finir le voyage avec toi, le renard, 🦊, la pierre de Lune, les étoiles, le passeur, avec toi la conteuse... J'allais écrire "Ô mon Dieu", mais ce n'est pas le dieu des hommes, et je ne sais pas comment nommer ce que j'appelle..
Continue Sandrine, à réveiller, à embarquer ce qu'il reste de sauvage en nous, avec ta magie délicieuse, sensible, mordante et féroce...
Ne t'arrête pas, j'ai tellement envie de partager tes contes à ceux qui m'entourent, celui ou celle qui reste et qui a encore une porte entrouverte sur la vie sauvage...
Un cadeau pour le solstice d'hiver qui approche, ce serait un cadeau précieux, comme la pierre de Lune qui brille parmi les étoiles et nos pleurs.
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Claudie, merci pour ces mots magiques, ces mots trésors, ces mots étoiles... Ton émerveillement est un baume, et me touche énormément. "Je ne sais pas comment nommer ce que j'appelle"... je vois très bien ce que tu veux dire. Laissons-le, laissons-la, laissons-les donc courir la terre et les constellations sans leur chercher de nom. Laissons-les simplement chanter leur chanson douce et féroce dans nos coeurs. Merci aussi pour tes mots tout simples: "Ne t'arrête pas". Ils sont venus pour moi dans un rêve, durant la magique nuit de Samhain. Ils sont un cadeau précieux que tu m'offres à nouveau. Merci 🙏
J'ai hâte 😊
Les prises de sons sont très fines, on y est et les mixages avec la musique très bien choisis : à quand une émission de radio sur ce format...